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Science - Climat

Nouveau record de réchauffement climatique causé par l’Homme - 2024

Seule une réduction rapide, forte et soutenue des émissions de gaz à effet de serre limiterait le réchauffement proche de 1,5°C ou sous 2°C au cours du siècle, correspondant aux objectifs climatiques de l’Accord de Paris. Pour avoir une chance d’accomplir cet objectif, il faut donc stopper tout investissement dans les sources d’énergie fossile et mettre un terme le plus rapidement possible à leur exploitation. Une forte réduction de la demande pourrait permettre une baisse de l’ordre de 40 à 70% des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici 2050. Plus nous retardons la réduction des émissions de gaz à effet de serre, moins nous aurons de solutions d’adaptation efficaces.

Des températures plus élevées risquent d’entraîner à long terme des conséquences négatives pour l’environnement et par le fait même pour les êtres humains. Un réchauffement global pourrait entre autres causer des événements climatiques extrêmes, des sécheresses plus sévères, des inondations et une augmentation du niveau des mers. De tels changements pourraient à leur tour engendrer des conséquences négatives sur la production de nourriture, l’approvisionnement en eau et la santé humaine. Les impacts négatifs des changements climatiques se feront surtout sentir dans les pays en voie de développement, puisque leur capacité d’adaptation est beaucoup plus faible.

Sommaire

Rythme sans précédent du réchauffement climatique

Hausse des températures mondiales

Le changement climatique entraîne une hausse de la température mondiale moyenne : les températures extrêmes, telles que les vagues de chaleur, deviennent plus fréquentes. Depuis les années 1950, l’atmosphère et les océans se sont réchauffés, la surface et la quantité de neige et de glace ont diminué, et le niveau de la mer est monté, des changements sans précédent. La température moyenne terrestre a augmenté de 1,1°C entre 1850-1900 et 2010-2020.

Contribution humaine au réchauffement

Cette hausse des températures est principalement causée par les activités humaines depuis la révolution industrielle, avec une augmentation des émissions de gaz à effet de serre due à la combustion de ressources fossiles et à la déforestation. Toutes les activités consommant de l’énergie fossile sont responsables de près des deux tiers des émissions totales de gaz à effet de serre et de plus de 80% des émissions de CO₂. Le GIEC confirme sans aucun doute que les activités humaines sont responsables du réchauffement climatique.

Conséquences potentielles

Les hausses de température modifient la répartition et l’abondance de nombreuses espèces végétales et animales, déjà sous pression à cause de la perte d’habitats et de la pollution. Elles ont également des répercussions sur la phénologie, le comportement et les cycles de vie des espèces, pouvant entraîner une augmentation des organismes nuisibles, des espèces envahissantes et des maladies. Dans le même temps, les rendements agricoles, l’approvisionnement en eau potable et en air pur pourraient être réduits.

Budget carbone en diminution rapide

Émissions de gaz à effet de serre record

En 2022, les émissions mondiales de CO2 issues de la consommation d’énergie fossile ont atteint 36,6 milliards de tonnes, soit une augmentation de 1% par rapport à 2021 et un niveau légèrement supérieur au pic précédent d’avant la pandémie de 2019. Cette tendance à la hausse est loin de nous rapprocher des objectifs de l’Accord de Paris. Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, une réduction rapide des émissions de l’ordre de 1,4 gigatonne de CO2 par an s’avère nécessaire.

Réduction du budget carbone résiduel

Le budget carbone restant pour limiter le réchauffement à 1,5°C pourrait être d’environ 260 gigatonnes de CO2 seulement, soit environ 120 gigatonnes de moins que prévu initialement. Si les émissions se poursuivent aux niveaux actuels, ce budget serait épuisé en six ans et demi environ. Selon les estimations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), il reste un budget carbone de 380 gigatonnes de CO2 à partir de 2023, équivalent à neuf années d’émissions actuelles. Cependant, cette estimation pourrait être surestimée.

Urgence d’atteindre des émissions nettes nulles

Peu importe que le budget carbone de 1,5°C soit épuisé dans neuf ou six ans et demi, la nécessité d’une action climatique rapide est tout aussi urgente. Il est crucial de réduire radicalement les émissions dès maintenant pour prolonger l’utilisation du budget restant et accorder du temps pour une réduction équitable des émissions. De plus, il est essentiel de développer des techniques d’élimination du carbone à grande échelle pour compenser la “dette” de carbone si le monde épuise le budget avant d’atteindre des émissions nettes nulles.

Réussites encourageantes dans la lutte

Réduction des émissions de soufre

Pour la première fois depuis la réouverture de l’économie chinoise après la pandémie de Covid-19, les émissions mensuelles de CO2 ont reculé en Chine en mars 2024, de 3 %. Cette baisse s’explique par le recul de l’utilisation du charbon (-1 %), la stabilisation de la demande de pétrole, ainsi que par la chute de la production d’acier (-8 %) et surtout de ciment (-22 %), liée à l’effondrement de la construction dans le pays. Mais surtout, elle a été rendue possible car 90 % de la hausse de la demande en électricité a été couverte par l’éolien et le solaire, dont la part dans la production d’électricité a grimpé à 36,2 % en mars 2024, dont 15 % pour ces deux énergies renouvelables.

Une réglementation mondiale réduira considérablement les émissions d’oxydes de soufre (SOx) des navires à partir du 1er janvier 2020. Le nouveau plafond de 0,50% de teneur en soufre du fuel-oil, contre 3,50% auparavant, entraînera une diminution de 77% des émissions de SOx, soit environ 8,5 millions de tonnes métriques de SOx en moins par an. Cette réduction aidera à prévenir les pluies acides, l’acidification des océans et aura des effets bénéfiques sur l’agriculture, les forêts et les espèces aquatiques.

Potentiel pic des émissions de CO2 en Chine

Le Rapport national sur le climat et le développement (CCDR) de la Banque mondiale pour la Chine analyse les changements nécessaires pour que le pays atteigne ses objectifs de pic d’émissions avant 2030 et la neutralité carbone d’ici 2060. Il souligne l’urgence d’agir vu les émissions massives de gaz à effet de serre de la Chine et son rôle essentiel dans l’action climatique mondiale.

Le rapport énumère les atouts de la Chine comme ses rendements croissants dans les énergies renouvelables, son taux d’épargne élevé, sa position de leader dans la finance verte et sa capacité à créer des emplois verts qualifiés. La Chine compte déjà 54 millions d’emplois verts, dont plus de 4 millions dans les énergies renouvelables. Pour atteindre la neutralité carbone en 2060, 14 à 17 000 milliards de dollars d’investissements supplémentaires dans les infrastructures vertes seront nécessaires dans l’électricité et les transports. Des réformes politiques visant à stimuler le secteur privé et l’innovation seront cruciales.

Nécessité de réduire le rejet de CO2

Afin de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degrés (un seuil que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime sûr), atteindre la neutralité carbone dès le milieu du 21ème siècle est essentiel. La neutralité carbone implique un équilibre entre les émissions de carbone et l’absorption du carbone de l’atmosphère par les puits de carbone. Pour atteindre des émissions nettes nulles, toutes les émissions de gaz à effet de serre dans le monde devront être compensées par la séquestration du carbone.

Objectifs chiffrés pour 2050

Un puits de carbone est tout système qui absorbe plus de carbone qu’il n’en émet. Les principaux puits de carbone naturels sont le sol, les forêts et les océans. Selon les estimations, les puits naturels éliminent entre 9,5 et 11 gigatonnes de CO2 par an. Le carbone stocké dans les puits naturels est rejeté dans l’atmosphère par les incendies de forêt, les changements dans l’utilisation des terres ou l’exploitation forestière. Voilà pourquoi il est essentiel de réduire les émissions de carbone pour atteindre la neutralité climatique.

Rôle de la reforestation

Les arbres jouent un rôle essentiel dans la capture du CO2 et la préservation de notre atmosphère. Planter des arbres reste un moyen efficace d’augmenter la capacité de stockage des gaz à effet de serre, mais ne doit pas devenir le principal recours des entreprises en matière de climat, occultant la nécessité de travailler sur la réduction des émissions liées aux activités de l’entreprise.

Appel à l’action des États

L’Union européenne s’est engagée dans une politique climatique ambitieuse. Dans le cadre du Pacte vert pour l’Europe, elle vise à devenir le premier continent à éliminer autant d’émissions de CO2 qu’elle en produit d’ici 2050. Cet objectif est devenu juridiquement contraignant lorsque le Parlement européen et le Conseil ont adopté la loi sur le climat en 2021.

D’après l’analyse de l’instruction supplémentaire fournie, elle semble être une consigne de narration à adopter pour l’ensemble de l’article plutôt qu’une directive spécifique pour la conclusion. En tant que tel, je vais l’intégrer dans ma rédaction de la conclusion en adoptant le ton et la perspective d’un animateur de conférence spécialisé avec une vaste expertise technique sur les solutions climatiques.

En tant qu’animateur de conférence et professeur émérite spécialisé dans les solutions contre le changement climatique, je résumerai les points clés abordés dans cet article. Le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint des niveaux records et alarmants. Les émissions mondiales de gaz à effet de serre continuent d’augmenter, réduisant rapidement notre budget carbone résiduel pour limiter le réchauffement à 1,5°C. Bien que des progrès encourageants aient été réalisés, des actions audacieuses et soutenues pour réduire les émissions de manière drastique sont d’une urgence absolue.

Heureusement, nous disposons des connaissances et des solutions techniques nécessaires pour relever ce défi. Des investissements massifs dans les infrastructures vertes, l’abandon rapide des combustibles fossiles et le déploiement d’énergies renouvelables à grande échelle nous permettront d’atteindre la neutralité carbone. Chacun d’entre nous a un rôle à jouer – des décideurs politiques aux entreprises, en passant par les citoyens. L’heure est venue d’agir de toute urgence pour préserver un avenir vivable sur notre planète. Voici d’autres articles similaires abordant ces enjeux cruciaux.

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